Le maire parle intensément de sa nouvelle passion : les parcs, et, dans le même temps, passe sous silence l’urbanisation intensive de terres autrefois naturelles : aucune information sur les constructions prévues dans le quartier de Sablassou, dans le quartier du Devois sur 8 500 m², dans les garrigues sur 10 000 m², ou à Eurêka (39 hectares)…
Les parcs (qui existaient déjà avant leur ouverture au public) ne créent aucune surface naturelle nouvelle. En revanche, les terres naturelles nouvellement urbanisées sont définitivement perdues.
CHIFFRES CLES:
39 hectares de terres naturelles urbanisés + 19 hectares en cours
d’urbanisation
0 hectare urbanisé transformé en terre
naturelle
3,5 hectares de parcs déjà existants
aménagés (bancs, etc) + 1 hectare à
venir
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